Histoire locale

Extrait du Réveil du Vivarais

Article très intéressant. Beau parcours.
Par ailleurs, tu as des éléments sur la seigneurie de la Sizeranne ?

C'est égalemenr un élément de plus, pour dire l'importance , du rôle joué par notre région, rhôdanienne et peri-rhôdanienne, la renaissance.
De Lyon à l'Italie, les châteaux de la Drôme, Tournon, Valence, St Vallier...

Des documents vont suivre concernant la seigneurerie de la Sizeranne/

"Petites" histoires contemporaines : Cette famille devrait être "honorée" plus qu'elle ne l'est pas à Tain-l'Hermitage, ville qu'elle a marquée par ses initiatives.

Le caveau familial,au cimetière de Tain, est remarquable:

Les hasards de la vie locale : Une partie des murs de l'enceinte de la propriéte, ont été bati par mon arrière grand-Père Jean BONNETON, père de Marie-Rose épouse CHENEVIER Paul.

Jean BONNETON et son frère Joseph, tiraient la pierre des carrières locales, les transportaient, et les bâtissaient. Je recueillais, dernièrement le souvenir évoquant cette construction , début du XXsiècle,et pendant laquelle ma grand-mère, "ravitaillait" les "hommes", qui restaient sur le chantier : les déplacements se faisant à pied,et, avec les chevaux.

A noter, qu'ils exploitaient, une carrière, sur la commune de St Barthelemy de vals, quartier de Crochat, sur les contre-fort de la colline dite de St Victor,ces pierres sont de granit rose, spécialité que l'on retrouve, dans de nombreuses constructions locales : dont la Chapelle, et, l'ancien bâtiment : Quartier de Rochetaillé, sur les vestiges du château occupé par le futur Louis XI : Résidence de Chasse : Vercors...

Je dèvelopperai, plus tard, ce que je tiens d'informations, sur l'emploi des matériaux locaux de construction-pour faire partie d'une famille de bâtisseurs à cette époque:

J'achève la compiltaion de cette famille de la Sizeranne- propriété Beausemblant-St Uze-dont les derniers représentants( la propriété vient d'être vendue) étaient des ambassadeurs:
longtemps en Suède

Ces histoires de constructions (et de chevaux) sont captivantes. Il y a certainement des savoirs à retrouver, et pourquoi pas faire revivre. Au moins pour restaurer l'identité des régions.